À retenir
Une étude de cohorte prospective a permis d’établir que les personnes âgées présentant une hyperéchogénicité dans le mésencéphale, une hyposmie ou des symptômes de syndrome parkinsonien léger ont un risque accru de développer la maladie de Parkinson (MP) après un suivi à long terme 5 et 10 ans plus tard.
Pourquoi est-ce important ?
Les facteurs de risque évalués étaient associés à un risque plus élevé de MP. Toutefois, les valeurs prédictives positives étaient trop faibles pour prédire la MP à un niveau individuel ; ces facteurs de risque pourraient être appropriés pour l’inclusion de patients dans le cadre d’une sélection par étapes (par exemple, après le recueil des antécédents médicaux, mais avant l’utilisation de marqueurs coûteux tels que l’imagerie du transporteur de la dopamine).