Des données à long terme suggèrent que la stimulation cérébrale profonde (SCP) stabilise la fonction motrice chez les patients atteints de la maladie de Parkinson (MP).
L’essai randomisé VA/NINDS, appelé « CSP468F », était une étude multicentrique de référence comparant les effets de deux cibles de la SCP (le noyau sous-thalamique [NST] et le globus pallidus interne [GPi]) chez des patients atteints de la MP.